C'est par mon téléphone que j'apprends la mort de Benazir Bhutto. Il est des destins frappants et marquants, des destins inaccomplis, ceux qui vont rejoindre cette liste toujours plus grande que celle des martyrs. Sa mort qui arrive entre deux indigestions est une bien étrange leçon à tous ceux qui clament à tue-tête et pour un rien qu'ici, en France, nous ne vivons pas en démocratie.
Nous sommes des nantis. Ici on s'époumonne car notre président passe des vacances en Egypte. Que de problèmes nous avons.
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