Il est donc 2h50 et comme à chaque fois, je me dis que je dois aimer mon sport pour ne pas être en train de dormir comme les honnêtes gens...
On en est au 41 et c'est le 24, pardon le XXIV, que j'avais vu en direct pour la première fois.
Avec le temps qui passe, le lycéen, l'étudiant, se sont transformés en travailleur plus que trentenaire. (Là il faut la musique du CIC...)
Comme à chaque fois, je serais dans mon monde après. Ce que diront mes élèves m'importera peu et ce petit côté "coton dans la tête" est quand même agréable...
Par exemple, la radio et la télé le mentionneront brièvement alors que pour moi cela siginifie la fin d'une partie de l'année. Plus de foot, plus de matchs à regarder, plus de podcasts à écouter alors que les 1500 acteurs de cette étrange comédie sur une scène verte prennent un repos mérité en attendant septembre prochain.
C'est depuis le XXIII que je suis donc ce sport qui est devenu un mode de vie, une évasion unique et qui n'est que source de plaisir pour moi. Indirectement, c'est grâce à lui que je suis prof, que j'ai pu ainsi découvrir les USA et mes amis du Big Orange county..Le plus étrange toutefois c'est le côté confidentiel de ce sport, victime de préjugés divers et variés, que l'on ne peut comprendre d'un premier abord. En quoi est-ce étrange? Eh bien je pense n'avoir jamais aussi peu partagé une passion...
Donc, je sais que demain, quand je vais avoir mon coup de barre, je vais me dire que c'e n'est pas sérieux de veiller aussi tard ("à mon âge...")
Mais dès que septembre reviendra, toutes ces sages (?) résolutions disparaîtront. Et tant mieux.
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