Où j'oublie que je suis coincé dans Misery, où je me rappelle ce qu'était ma petite vie bien agréable d'avant...
Alors que nous sommes à la veille de la rentrée, j'écris dans ce petit état comateux, caractéristique d'une longue soirée passée. Il fait gris, comme souvent, et le temps semble passer plus lentement qu'à son habitude...
Je pense à mon autre année de purgatoire qui m'attend et après mon exil devrait être fini.
Mais à partir de demain, on remet le masque. A partir de demain, le Pays deviendra à nouveau l'endroit où L.
va m'accueillir. Loin de tous les petits tracas...
J’attends l’été pour ne plus mourir de froid dans ma cellule.
J’attends tous ses petits évènements marqués sur mon agenda.
J’attends d’arriver en cette place qui s’appelle « Ailleurs ».
Pour finir sur une touche plus gaie, connaissez-vous Cali, l’auteur de « c’est quand le bonheur » ?
Eh bien je ne pourrais guère vous aidez car, de passage à la FNAC d’une ville dont le nom figure dans le titre de cette chanson, il a donné un mini concert.
Beaucoup de monde, un drôle de forum et voici donc, en exclusivité une photo des PIEDS de Cali, seule partie de lui que j’ai pu voir (étant situé sur le balcon de la « salle ») et encore, en me baissant au maximum !
Au moins j’ai eu la preuve que ce n’était pas un magnétophone en marche au fond de cette scène…
Mais c'est la question du jour: "C'est caen le bonheur?"
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