Un Age de raison

Le mois du dieu de la gare s'en va doucement pour céder sa place à celui qui n'aime pas qu'on se découvre et je réalise que je n'ai même pas parlé de l'âge de raison de ces chroniques faites de tout sauf d'encre. J'en reparlerais pour les 10 ans, en espérant que j'aurai levé une partie de ce voile de "Mystère", justement.

Côté cinéma, j'attends Alice, ses lapins et sa folle reine. Celà sera du Burton et je reconnais être un peu extérieur au culte qu'on lui voue parfois. Surtout quand je vois que le Soundtrack contient Tokio Hotel. Celà dit, la BO de Danny Elfman (qui pour le coup, a vraiment su évoluer de ses clochettes du début) est vraiment bonne.

Allez, continuons à parler de musique de film, celà faisait longtemps. On a tous un ipod empli de musique que l'on n'a pas forcément toujours écouté. Un peu comme les livres que l'on lira "quand on aura le temps", expression moderne pour dire "jamais"; il y a des morceaux qui attendent sagement de revenir à une vie musicale. C'est le cas pour le très enjoué "Pirates des Caraïbes, Jusqu'au Bout du Monde" de Hans Zimmer qui permet de revivre le film et de se l'imaginer tel qu'il aurait du être. La partition passe en revue tous les genres avec une côté épique donne envie de sauter partout, dans la plus belle des traditions Hollywoodienne.

Et enfin,  l'Agence Tous Risques est de retour en juin. Je me posais la question de savoir s'ils allaient tirer sur des hélicoptères qui n'exploseraient pas et dont le pilote sortitait indemne, eh bien 25 ans plus tard, on a la réponse: NON.
Et demain, j'espère que la réponse pour l'admissibilité sera tout le contraire, car moi aussi, j'aime bien qu'un plan se déroule sans accroc.