Petit hiatus dans ces chroniques pour cause de caisses à déplacer de l'autre côté de la rue. Je viens donc de passer ma deuxième nuit ici et le cool cat a inauguré l'endroit. Il ne cesse de me suivre mais est quand même fasciné par le balcon.
Alors que la France retrouve ses racines et son identité avec la Grande Vadrouille ce soir, j'attends pour ma part une avalanche de bits (vous avez bien remarqué que je n'ai pas mis de « e ») dans le Château cette semaine. Même si l'immeuble est vide (3 locataires pour l'instant), il y a quand même plusieurs réseaux mais tous sont protégés. On n'est pas en Suisse, hélas (*wink*). Et puis il y a Ikea. Ce paradis lointain (même si celui de Rouen devrait arriver l'an prochain) que chacun convoite dès qu'il contemple les murs désespérément blancs de sa nouvelle vie. Alors on fouille, on compulse le catalogue et, tel le chef Brody en d'autres temps et d'autres lieux, on se dit alors: Il nous faudrait une plus grosse voiture.
Dans la catégorie « ça devait arriver », je lance une lessive hier soir et en ouvrant la machine ce matin je me suis rendu compte qu'il y avait de la poudre partout. J'ouvre le tambour et je me rends compte que le linge est sec. «Il est super cet appart !» je me dis alors (un peu sceptique quand même…). Mon enthousiasme est retombé quand je me suis rendu compte que je n'avais pas ouvert le robinet d'arrivée d'eau. Le cool cat, seul témoin de cette bévue, m'a promis de ne rien en échange d'une boîte de thon.
En bonus, quelques WHERE IS THE COOL CAT?
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