Misery. Les cris, les rires, les pleurs sont partis. On ne se rend compte de leur absence qu'en entendant nos propres pas s'envoler et se perdre dans ce qui me rappelle toujours les coursives d'un navire échoué. Chaque chose a une fin et ceux qui arpentaient ces lieux deviendront eux aussi les esprits qui les hanteront un peu avant d'être remplacés par d'autres.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire