La derniere semaine c'est un peu la vitesse que l'on prend qund on descend une pente: ca va de plus en plus vite. Ici, tout nous est familier desormais: le nom des rues, des arrets de bus et le labyrinthe qu'etait Portsmouth a abattu ses murs.
Arrive la perspective du depart et un etrange pincement nous serre le coeur, comme a chaque fois. La petite communaute va se dissourde et nous ne nous reverrons plus. Nous aurons ce grand sejour dans nos coeursm, avec un grand sourire sur les levres.
Je n'aime pas ce moment. Celui ou ils vont s'en aller.
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