Si la derniere semaine est toujours telle la roche devalant une pente, les derniers jours sont quant a eux lents et bien etranges. On passe une deniere devant les monuments, dans les librairies (ou le temps s'arrete toujours, lui). On compare le poids dans la valise et ce qu'il reste a mettre pour se demander si tel ou tel article va pouvoir rentrer..
On goute avec une etrange melancolie aux dernieres excentricites de ses petits jeunes ("t'as vu, 1 kg de Kit kat pour une livre, quelle affaire!"). Dans deux jours, retour en France. Je deteste ses phases de transition, celles ou on est entre deux trains avec cette valise qui est trop lourde et ce sac qui tombe des epaules au moindre mouvement.
La vraie vie revient a l'assaut avec ce que l'on doit faire en rentrant, il n'y a plus de meeting point ou de "n'oubliez pas vos serviettes..."
Ce soir derniere soiree disco, demain derniers bouclages et lundi: BACK!
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