samedi 30 juillet 2011

Un peu comme dans Lost

Celà a été encore une sacrée journée. Un appareil photo en moins mais
des paysages fabuleux, une montée à 750 mètres dans la forêt
tropicale, les coraux, la nature.
Where's life, mes amis?

jeudi 28 juillet 2011

Différentes bêtes

Même si la petite sur les escaliers ne va pas manger la grosse dans le
miroir, eh bien je peux vous dire que la grosse faisait pas trop sa
maligne en descendant les escaliers.

mercredi 27 juillet 2011

Good-bye Harry

(Bien sur, c'est une photo française pour notre dernier Harry Potier.)

Ainsi Harry est parti. Tout finit par s'achever (joli message) et même
si je n'ai pas vécu la saga avec une grande intensité, celà fait
quelque chose. Enfant, je crois que j'aurais été le premier avec
écharpe et baguette à balancer du Lumos (ou du Foirus) à tout va. Plus
grand (je n'ose pas dire "adulte") je me suis arrêté côté lecture au
troisième tome et si j'ai beaucoup de respect pour JK Rowling, je n'ai
pas poursuivi jusqu'au bout la lecture, me rabattant sur les films.
Ainsi, j'ai vu le prince de sang mêlé (dont j'ai oublié l'histoire) à
Melbourne, l'avant dernier à Rouen et enfin Cairns pour la fin. On
sent les coupures dans ce dernier opus mais il y a quelque chose pour
quiconque ne lit pas les livres. Etonnament, j'étais déjà à Melbourne
quand le livre Deathly Hallow est sorti et je me rappelle du phénomène
national que c'était. Trouvez la date et cliquez sur les archives du
blog (en juillet ou aout) et vous verrez les photos.
Harry, Hermione et Ron s'en vont donc. Pas vraiment au centre de mon
univers mais en périphérie dès que du fantastique est impliqué. Nous
rappelant que le cinéma invente peu, j'ai tout de même un pincement au
coeur pour la révélation sur Snape et la mère d'Harry. La musique de
Desplats et le jeu de Rickman ont fait la différence.
La question qui se pose maintenant est de savoir quel nouveau
phénomène fera vibrer la jeunesse (et les anciens...), quels romans et
univers je partagerai avec mes enfants qui me diront, essouflés dans
leur enthousiasme:" Papa, c'est super il y a xxx qui sort enfin!!"
Ou quand ils me diront:"tu connais Harry Potter?"

lundi 25 juillet 2011

Lecture

Petite pause de mes rencontres, mes coups de soleil et de ma mer
éternelle. Je viens de finir Fall of Giants de Ken Follett et c'est le
premier livre que j'ai pu lire en livre et en format électronique.
Alors qu'en dire ?
Tout d'abord, je ne suis pas sur d'aimer lire en intégralité un roman
sur ipad. Tout simplement parce que malgré les efforts des
programmeurs, on ne voit pas notre avancée matérielle de la première à
la dernière page. Vous savez, quand on le haut du livre, notre doigt
coincé entre les pages et quand on se dit qu'après la moitié cela va
aller très vite. Et le contact est décidément quelque chose
d'indispensable. En un sens, si on ne lit que cela et tout petit, le
contact est-il un manque ?
Je trouve par contre que la combinaison des deux est très bonne. Le
soir, lumière éteinte, l'ipad permet d'avancer et de juste le poser
pour dormir. J'ai aussi remarqué que je lisais plus vite avec l'ipad.
Une enquête avait montré il y a quelque temps que l'on retenait moins
sur support électronique, je ne l'ai pas remarqué pour ma part.
Ne lire que sur l'ipad pose aussi le problème de toujours être devant
un écran et même si 'lon peut régler l'intensité, il n'en reste pas
moins qu'à long terme, cela n'est guère reposant. Mais en déplacement,
quand on veut voyager léger, la brique qu'est FoG est aisément
remplaçable. Quand un livre se lit aussi bien, on a toujours envie de
l'avoir près de soi et grâce à cette nouvelle manière de lire, c'est
chose faite. Qui plus est, le dictionnaire intégré dans ibooks, son
surlignage et autres petites possibilités font que lre et prendre des
notes se fait des plus naturellement. Evidemment, il faut bien sur
avoir des livres à annoter. C'est ce qui se passe quand, comme moi, on
a « a monkey on his back »

dimanche 24 juillet 2011

Il faut juste éviter le beau qui pique

Que de souvenirs...

Unique

Australie. Cairns. PErroquet, Koala, Cassowary (le mot du jour), des
crocodiles, et entre autres, un Black Swan qui était vu comme une
aberration de la nature à l'époque. Uniques et enchanteur (bon, un peu
flippant aussi quand même pour nos amis les crocodiles dont la
pression de la machoire est de 1,5 tonne)

samedi 23 juillet 2011

Ce que j'aime dans ce pays

C'est qu'à un moment ou un autre, on en vient toujours au ciel. De ces
fleurs qui nagent dedans à ces oiseaux naufragés se prêtant au aux
caresses, ce pays ne peut se voir qu'en levant la tête.
La nuit est tombée et à chaque fois que je regarde le ciel, j'ai
toujours cette impression d'européen que le ciel est "plus grand"

Ca c'est de la piscine

vendredi 22 juillet 2011

Oui c'est gros.

Il y a quelques posts de celà, je vous parlais de ce papillon (et non
pas de nuit). Grand comme la main et beau comme la nature en a le
secret, j'étais à la piscine quand un spécimen se pose sur ma tongue.
Là, mon réflexe est de prendre mon appareil. Je pose mon roman, mes
jambes relevés sur la chaise longue quand soudain le lépidoptère
s'envole et.....entre dans la jambe de mon maillot de bain, remontant
vers des parties très intimes!
Malaise, gros malaise de le sentir monter et surtout malaise à l'idée de
l'écraser si j'appuyais trop fort. Car c'est beau mais de près ça fait
quand même un peu peur.
Me voilà donc à mettre la main sur mon entrejambe et à me trémousser sur
ma chaise longue, l'imaginant en train de vouloir faire des trucs,
pensant à la purée de papillon si je l'écrasais sur ma peau. Mais
surtout n'imaginant rien car mon cerveau était un peu paniqué. Et que
dire des aux gens qui doivent me regarder et se poser bien des questions.
En dernier recours, je me lève, toujours la main bien placée pour
empêcher la montée et je le vois alors sortir de mon maillot de bain
comme si je venais de réaliser un tour de magie.
Ignorant ce qui s'est passé, il s'en va, virevoltant vers d'autres
aventures.

Cours

 
Cours.
Le sable saisit chacun de tes pas, les ralentit, veut t’empêcher de décoller tes pieds.
Cours.
Une vague impétueuse veut t’attraper, tu fais un écart sur une butte de sable qui te déséquilibre.
Cours.
Tu dois atteindre la colline tropicale. Elle ne diminue pas. Elle te regarde et te défie.
Cours.
Les papillons et les perroquets se font voir et entendre, passant au loin, devant la colline.
Cours.
Tes pas sont plus lents et la colline ne bouge pas.
Cours.
Le souffle est court, tu te concentres. Le mur imaginaire est là.
Cours.
Tu dois le passer. Tu ne dois pas t'arrêter. Une autre vague veut te capturer.
Cours.
Tu passes le mur. Tu fais taire les vagues. La colline cède et rapetisse.
Cours.
Plus vite. Tu y es. Le sable est vaincu, la colline t’accueille. Tu l’enjambes à grandes foulées.
Cours.
Victorieux, tu es au sommet. Le souffle coupé, ruisselant mais devant toi.
Regarde.
Devant toi sous ce soleil naissant, le bleu du ciel à perte de vue qui se mélange à l’océan infini. A tes le long bandeau de sable de la plage et derrière lui les montagnes recouvertes par le vert de la forêt d’où les oiseaux chantent cette victoire.
 



jeudi 21 juillet 2011

Heu, c'est un peu gros quand même

- Fiddler, fais attention à ce papillon de nuit, il ne faut pas qu'il rentre
- D'accord

For ages

Cairns. Loin de Rouen. Le même rituel du matin. je me lève avec le
soleil, prend mon appareil, hume l'air du temps et de la nature et je
ne me lasse pas de cette plage que le soleil a déjà chauffé en ce
début de journée. Le bruit des vagues caresse les oreilles et le ciel
invite vos yeux à le regarder, pour ces oiseaux bruyants ou ces
papillons démesurés qui vont de Mango en Mango.

lundi 18 juillet 2011

Une course

Je pense à tous ceux qui sont dans l'hémisphère nord et alors que le
soleil se couche, je me rends compte qu'il s'agit d'une course qui ne
finit jamais. Nous voilà à courir pour chacun être sous le soleil au même moment
mais nous sommes condamnés à ne jamais nous rattraper. Tout un symbole. Bonne nuit.

samedi 16 juillet 2011

A l'autre bout du monde

Le ciel semble plus grand, la nature expérimente et s'amuse et le soleil rit..