jeudi 9 juillet 2009
In-between
Rouen, Melbourne, Noirmoutier..
Je n'aime pas les intermédiaires, titre de ce post. Je ne suis pas
encore Down Under, encore un peu sur mon île et encore moins à Rouen.
Bien sur, l'esprit y est déjà lui. Je pense à cette valise à
remplir, à ces petits détails qui pourraient vous faire dire plein de
gros mots en français à 20000 kilomètres d'ici. Le soleil va aussi
vite disparaitre et le froid va revenir et j'ecris celà alors que le
sable est encore sur mes coups de soleil aux jambes...En attendant,
cinq heures de route demain matin!
Je n'aime pas les intermédiaires, titre de ce post. Je ne suis pas
encore Down Under, encore un peu sur mon île et encore moins à Rouen.
Bien sur, l'esprit y est déjà lui. Je pense à cette valise à
remplir, à ces petits détails qui pourraient vous faire dire plein de
gros mots en français à 20000 kilomètres d'ici. Le soleil va aussi
vite disparaitre et le froid va revenir et j'ecris celà alors que le
sable est encore sur mes coups de soleil aux jambes...En attendant,
cinq heures de route demain matin!
lundi 6 juillet 2009
Merci dieu des mers ..
Barbatre. Merci O Poseidon pour ces grosses vagues envoyées en cette
journée venteuse. Je me suis vu répéter avec mon cousin pendant deux
heures mes courses pour être bien placé, mes cris de joie quand une
vague se dresse lentement pour devenir un mur, mes reprises de
respiration bruyantes et rapide dans une écume bouillonnante sans
parler des des crêtes qui se passe juste sur votre crâne et que vous
ne voyez pas venir...
Trente que je vis cela et dans cette roue qui tourne je voyais les
petits de huit ans qui pestaient contre leurs parents qui les
empêchaient d'aller trop loin (à savoir deux mètres)
En attendant demain et de remettre celà, je me pose une question qui
illustre un incident courant dans ce genre d'activité: comment dit-on
"boire la tasse" en anglais?
journée venteuse. Je me suis vu répéter avec mon cousin pendant deux
heures mes courses pour être bien placé, mes cris de joie quand une
vague se dresse lentement pour devenir un mur, mes reprises de
respiration bruyantes et rapide dans une écume bouillonnante sans
parler des des crêtes qui se passe juste sur votre crâne et que vous
ne voyez pas venir...
Trente que je vis cela et dans cette roue qui tourne je voyais les
petits de huit ans qui pestaient contre leurs parents qui les
empêchaient d'aller trop loin (à savoir deux mètres)
En attendant demain et de remettre celà, je me pose une question qui
illustre un incident courant dans ce genre d'activité: comment dit-on
"boire la tasse" en anglais?
dimanche 5 juillet 2009
Steve Mcnair
Bien sur, peu le connaissaient comparé à un certain chanteur. Mais
parmi les acteurs qui constituent les personnages de notre passion, il
a été un grand rôle. Un très grand rôle que nous avons vu jouer en
vrai, devant nous à Nashville, là où quelques dix ans plus tard il a
été retrouvé assassiné.
La mort est bien souvent injuste et la mort violente est une
injustice. Bien sur, ces drames arrivent à d'autres et tout ce que je
peux écrire s'appliquent à tous. Bien sur. Mais ce soir je parle de
Steve et je ne parle que de lui. Comme tous ceux qui peuplent vos
passions, ils ont une place à part dans nos cœurs car de manière
étrange, ils sont toujours là pour nous . Les sportifs sont
l'énergie à l'état pur. Ils nous montrent le meilleur, vont souffrir
pour l'atteindre et glaner les hourras de la foule. Alors les imaginer
se faire abattre déchire le voile par lequel nous les définissons et
les avont toujours connus. Dans leurs maillots et un ballon à la main,
véhiculant les valeurs du sport. Et nous sommes à des lieux de
conceptualise une arme à feu dans le tissu de rêve qu'ils ont crée
autour d'eux. Ce n'est pas la longue maladie ou un accident lors de
leur pratique. Non, ce sont des intrus s'invitant dans leur histoire
publique. Quelque part sur ce monde plusieurs personnes se disent: on
a tué Steve Mcnair, élu meilleur joueur de la ligue quand il jouait
encore (et ce retraité de 39 ans a pris sa retraite il y a un an). Un
type irréprochable sur un terrain, toujours là pour les fans. Il y a
10 ans on le voyait jouer de l'autre côté de l'océan . Dix ans plus
tard j'écris sur lui en parlant de l'imbecilité de monde. Merci
Steve. Merci pour nos poings levés. Merci pour nos bons de nos
fauteuils. Merci pour ce superbowl.
Bad mood, comme disait mon Bro..
parmi les acteurs qui constituent les personnages de notre passion, il
a été un grand rôle. Un très grand rôle que nous avons vu jouer en
vrai, devant nous à Nashville, là où quelques dix ans plus tard il a
été retrouvé assassiné.
La mort est bien souvent injuste et la mort violente est une
injustice. Bien sur, ces drames arrivent à d'autres et tout ce que je
peux écrire s'appliquent à tous. Bien sur. Mais ce soir je parle de
Steve et je ne parle que de lui. Comme tous ceux qui peuplent vos
passions, ils ont une place à part dans nos cœurs car de manière
étrange, ils sont toujours là pour nous . Les sportifs sont
l'énergie à l'état pur. Ils nous montrent le meilleur, vont souffrir
pour l'atteindre et glaner les hourras de la foule. Alors les imaginer
se faire abattre déchire le voile par lequel nous les définissons et
les avont toujours connus. Dans leurs maillots et un ballon à la main,
véhiculant les valeurs du sport. Et nous sommes à des lieux de
conceptualise une arme à feu dans le tissu de rêve qu'ils ont crée
autour d'eux. Ce n'est pas la longue maladie ou un accident lors de
leur pratique. Non, ce sont des intrus s'invitant dans leur histoire
publique. Quelque part sur ce monde plusieurs personnes se disent: on
a tué Steve Mcnair, élu meilleur joueur de la ligue quand il jouait
encore (et ce retraité de 39 ans a pris sa retraite il y a un an). Un
type irréprochable sur un terrain, toujours là pour les fans. Il y a
10 ans on le voyait jouer de l'autre côté de l'océan . Dix ans plus
tard j'écris sur lui en parlant de l'imbecilité de monde. Merci
Steve. Merci pour nos poings levés. Merci pour nos bons de nos
fauteuils. Merci pour ce superbowl.
Bad mood, comme disait mon Bro..
samedi 4 juillet 2009
Ready
Barbatre. Ce qui compte, c'est le premier jour. Les photos du coucher
de soleil sont très réussies mais je ne peux pas encore les mettre en
ligne car il n'y pas d'Internet là où je suis. D' ailleurs, je
remarque que je dors très bien partout où ma tête n'est pas
parcourue par des dizaines de réseaux et que je ne suis donc pas un
lieu tourisitique pour toutes ces ondes. Je suis donc reposé de 11
heures et comme l'atteste cette photo, je suis PRET...
de soleil sont très réussies mais je ne peux pas encore les mettre en
ligne car il n'y pas d'Internet là où je suis. D' ailleurs, je
remarque que je dors très bien partout où ma tête n'est pas
parcourue par des dizaines de réseaux et que je ne suis donc pas un
lieu tourisitique pour toutes ces ondes. Je suis donc reposé de 11
heures et comme l'atteste cette photo, je suis PRET...
vendredi 3 juillet 2009
Le petit coin de paradis
Barbatre. Le voyage fut long, plein de chaleur, après trois heures de
sommeil et 39 de fièvre mais j'y suis et déjà je me sens tout
léger...
sommeil et 39 de fièvre mais j'y suis et déjà je me sens tout
léger...
Et voilà.
Rouen.
Put that one in the books. Une année scolaire de plus, qui se conclue par des corrections. Ma tête est en Vendée e bientôt Melbourne, ce dont je ne me lasse pas. Cette année fut riche en rebondissements, en joies et tristesses mais je ne regrette rien.
Le monde s'effondre: MJ, les avions qui tombent mais pour lesquels le destin choisit d'épargner une petite fille de 4 ans. Avant de partir en voyage, il y a toujours une catastrophe aérienne et je me dis qu'en ce moment je suis verni. La TVA baisse dans la restauration mais pas les prix (ah, la France..), il fait trop chaud et finalement on n'est jamais vraiment content.
Hier, j'ai revu quelqu'un qui était avec moi au lycée (et qui a une de ces voitures..) et nous avons parlé du temps qui passe et surtout du bonheur. Est-ce qu'il consiste en ce que nous n'avons pas? A se lever sans avoir de boule au ventre? C'est un vaste programme et un vaste sujet. Tout ce que je sais c'est qu'il tient à peu de choses. En fait, en ce matin de juillet, je me dis que le bonheur, c'est un bout de ciel bleu, un bout de plage et le bruit des vagues. Mouais, dites moi où je signe.
Put that one in the books. Une année scolaire de plus, qui se conclue par des corrections. Ma tête est en Vendée e bientôt Melbourne, ce dont je ne me lasse pas. Cette année fut riche en rebondissements, en joies et tristesses mais je ne regrette rien.
Le monde s'effondre: MJ, les avions qui tombent mais pour lesquels le destin choisit d'épargner une petite fille de 4 ans. Avant de partir en voyage, il y a toujours une catastrophe aérienne et je me dis qu'en ce moment je suis verni. La TVA baisse dans la restauration mais pas les prix (ah, la France..), il fait trop chaud et finalement on n'est jamais vraiment content.
Hier, j'ai revu quelqu'un qui était avec moi au lycée (et qui a une de ces voitures..) et nous avons parlé du temps qui passe et surtout du bonheur. Est-ce qu'il consiste en ce que nous n'avons pas? A se lever sans avoir de boule au ventre? C'est un vaste programme et un vaste sujet. Tout ce que je sais c'est qu'il tient à peu de choses. En fait, en ce matin de juillet, je me dis que le bonheur, c'est un bout de ciel bleu, un bout de plage et le bruit des vagues. Mouais, dites moi où je signe.
mercredi 1 juillet 2009
Les vacances arrivent
Conseil pratique. Si votre avion se prend pour le Nautilus, eh bien vous pourrez toujours vous rappeler de cette vidéo en attendant les secours:
Peut on trouver plus créatif que Star Wars?
Ce film est unique. Que l'on aime ou pas, cette série de pastiches me fait dire que seul Starwars peut provouer celà (on a parlé d'une version porno trash d'"Angélique ange-gardien" mais j'y crois moins, là..)
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