Rouen. De retour. Ca y est, mon retour CEI s'est fait. Un week-end dans un centre équestre qui m'a fait du bien. qui m'a fait pensé à autre chose. Autre chose de quoi? Eh bien, c'est fou comme une somme de petites contrariétés mises bout obscurcissent votre horizon. Celà maintenant bien longtemps que je sais que notre voyage prend bien des détours et parfois, entre deux îles, tout semble flou et incertain. On se replie alors sur ce qui est sur, sur ce qui ne peut pas changer. Bien souvent, il s'agit de choses qui viennent de nous, car par définition les gens chanent et déçoivent. Alors je pense donc en ce moment à Melbourne, je pense à l'ailleurs et tout comme L. en un temps ancien, je me pose des questions.
Bien sur, quand nous avanceons, nous rencontrons des écueils mais ces écueils nous forment. Parfois ce qui nous a soutenu nous tire vers l'arrière et il faut donc prendre une décision. Bien sur, on se pose des questions sur les conséquences. On sait que l'on survivra mais il y a eu tant de changements, tant de tempêtes que l'on aspire tout de même à un peu de repos.
L'heure des choix arrivent, à tous les niveaux. De nouvelles pages demandent à s'écrirent et quand nous arrivons à la fin d'un chapitre, la longueur de ce dernier ne compte plus. Ce qui compte c'est la nouvelle page, même si les premiers mots sont les plus dures à écrire.
PS: pour Nicole Kidman, passer de Chanel à Schweppes, c'est quand même dur, quoi qu'on en dise.
PPS: En Afghanistan, je n'aimerais pas être une femme. Terrible reportage sur la 6 néanmoins.
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