Le roi du roller, ou plutôt le manipulateur de roller Niveau 1 que je suis, revient de son parcours asphaltique sur Rouen. Quand on a mon niveau, on remarque beaucoup de choses car on va prudemment. On voit les petits cons qui font devant vous les figures les plus simples, sont synonymes de gamelle pour moi. Le virage à 180, l'arrêt d'urgence me sont encore interdits.
Je remercie Roulettos (le dieu de ce qui a des roues, des planches, et des djeunz dessus) et Gamellos son cousin (dieu des chutes humiliantes) d'avoir mis suffisamment de poteaux et lampadaires sur mon chemin car les trottoirs sont traîtres en cette ville.
Mais c'est toujours mieux qu'à Misery car là bas, ce n'était que du pavé. Et à Rouen je peux manger du bitume sans que mes élèves ne me voient. Et ça, comme on dit chez les cartes bancaires, c'est "priceless"
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