You can't go home again" disait Thomas Wolfe mais pourtant quand je rentre chez moi à Misery, j'aimerai que ce soit vrai. Mon cool cat, compagnon d'infortune est ici à mes côtés et tout les deux on voudrait être ailleurs. Les effets du voyage se dissipent. Je lis sur le web ce que je voyais là bas dans les journaux.
Mes souvenirs sont au mur, malgré les courants d'air de cette maudite maison, malgré le fait que le soleil ne brille quasiment jamais dedans...
Vite, TO THE FUTURE
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