lundi 16 août 2004

Tempus fugit...





Quand on regarde bien à gauche, on voit le reflet de mon téléphone portable sur cette photo de 1882. A l'époque on ne pouvait pas imaginer qu'un jour que ce qu'on allait appeler le téléphone pourrait prendre des photos. On allait poser en famille, en habits de dimanche, et avec interdiction de sourire semble-t-il...

Ces gens là je ne les connais pas mais j'aurais bien aimer vouloir parler avec eux, savoir comment était la vie à cette époque. La vie de tous les jours, pas celle des livres d'histoire..

J'aurais bien voulu les connaître car ce sont mes arrière-arrière grands parents.

Back!!!!

C'est donc à 3h10 du matin que je suis revenu dans ma cellule.Il pleuvait, pour changer et j'avais une tonne de choses à débarquer de la spidey mobile.

Courier: pas de factures mais une invitation pour mariage, deux chèques.

Je comptais sur le premier mais pas sur le deuxième. Le deuxième, j'ai du menacer des prud'hommes et il m'a coûté un envoi en recommandé avec AR. Mais bon, mon reste de notions juridiques a du marcher.

de retour à Misery, je retrouve ses jeunes en com8 et autres fringues de djeunz de campagne. Je réalise alors que ça m'a fait du bien de changer de public pendant ces vacances.

Ensuite je consulte mon mail et autre conclusion:

Ne laissez jamais votre adresse à 48 jeunes. Pas à cause de ce qu'ils envoient mais parce que le jeune, il ouvre tous les mails. Donc après un mail collectif, j'ai reçu 12 mails de virus, générés gracieusement par hacking cie....



Mon Dieu, quel post palpitant!

mercredi 11 août 2004

Clavier, clavier....

Docteur, quand je suis en vacances je suis heureux, mais je suis loin d'un clavier, d'internet, de mes copains avec qui je communique..alors pourquoi est-ce que je me précipite sur un clavier dès que j'en vois un, ayant l'impression d'être vraiment déconnecté non pas du monde mais de mon monde?



en plus, je n'ai même pas le temps de mettre une jolie image comme par exemple mon spidey en mondéo..(ici pour la voir quand même...!)

lundi 9 août 2004

Cher L.

Je t'envoie une petite carte de mes vacances loin de mon clavier, de la civilisation,de mes scenarii et histoires, de mes livres avec et sans images. La pluie et le soleil sont mes seules préoccupations et j'avoue mon cher L. qu'il me tarde de retrouver un cinéma pour voir spiderman 2 et autres films qui me rapelleront à quel point j'aime m'évader....



En attendant, je retourne à mon sable, ma Fondation, mon Blackwood Farm, ayant fini le tome 1 d'Hypérion, le deuxième n'étant pas trouvable sur mon île...



A Très bientôt...

lundi 26 juillet 2004

Vacances...

Cette fois c'est pour 15 jours au bord de la mer....



En espérant revenir avec un moral d'acier...

Pas évident

Répétez après moi :



J’exige d’exquises excuses



L’abeille coule (à répéter 3 fois très vite)



Papier panier piano (pareil, trois fois)

I’m back

 

C’est par cette phrase que Sam conclut son grand voyage. C’est ce que j’ai pensé quand je suis arrivé sur le quai de la gare. La fatigue laisse place à un petit coup de blues et l’on se rend compte que ce que l’on a laissé est toujours là. Les problèmes et les doutes reviennent alors vous voir, vous signifiant votre retour. Bien sur, ils attendent un peu comme intimidés par cette absence, mais bien vite ils me rappellent à leur mauvais souvenir.



Que d’eau, Que d’eau (2)

(petits posts inédits)



Cette fois ce n’est pas de nos petites têtes blondes mais c’est au sujet de la piscine que je fais ce post. Oui, pauvres nantis à la vie triste, nous avions accès à une piscine pour nous tout seul. Tout le monde y allait le jour mais le soir, quand les étoiles discutaient et dansaient lentement dans le ciel, nous pouvions y aller tranquillement. Bain de minuit chloré en charmante compagnie où je pouvais à loisir faire peur en changeant de voix, en me cachant ou en hurlant dans le noir (pourquoi, mais pourquoi est-ce que j’aime bien faire peur ? Il faudra que je me pose sur ce sujet un jour), nous avons assez vite déchanté devant la catastrophe textile (et capillaire pour certaines) qui se produisait sous nos yeux impuissants. Discret tout d’abord pour devenir criant ensuite, un changement de couleur s’est produit sur tous les maillots de bain soudainement devenus caméléons. Marike est passée du marron au jaune, je suis passé du bleu marine au blanc bleuté. Quant aux cheveux de Juliette, ils faisaient penser à Belle des champs...

Fourbes anglais... 



Nul n’est prophète en son pays…

 

Neil Gaiman est quelqu’un un qui gagne à être connu et il faut bien dire que cet écrivain anglais est quelqu’un de talent..

Alors en me promenant dans les rayons de quelques librairies bien achalandées d’Angleterre, je m’attendais à trouver moult de ses ouvrages.. Que nenni ! Un ou deux livres, pas plus dont Good omens car co-écrit avec par Pratchett. Alors que dans les libraires américaines on trouvait à chaque librairie tout ce qu’il avait écrit, il semblerait que son exil dans le Minnesota ne lui ait pas été pardonné !

 Néanmoins, la bibliothèque de mon honorable collège d’Holmwood possédait Coraline…

mardi 20 juillet 2004

the end

Et voila, ca se termine. Les valises sont dans le car et les enfants passent leurs derniers moments ensemble. Ils echangent leurs numeros et mails, s ecrivent des petits mots qui se perdront dans le mois et cette etrange atmosphere est semblable a celle d une piece qui se terminent...Bien des histoires, bien des drames futiles et sans consequence pour 15 jours assez marquants..

Je livrerai les episodes manquants des mon retour devant mon keyboard..Pour l instant, reveil 5h30 demain! Souhaitez-moi bonne route!



Je laisse la parole a une compagne de voyage:



Ici Juliette. Je tiens a corriger le romantisme effrene de Fiddler. Nous nous partageons la surveillance de l'etage des garcons et des qu'il a le dos tourne, les chansons paillardes vont bon train, ainsi que le vocabulaire le plus fleuri sur la gent feminine; plaisantes ces cheres tetes blondes!